(cette image n'a rien à voir avec le sujet évoqué mais je l'ai trouvé intéressante. C'est le Mont Fuji pris en photo lors de mon voyage au Japon )

Ce matin, j'ai fait un peu de ménage dans mon armoire car j'avais besoin de faire un peu de tri. Et j'ai retrouvé mes bulletins du collège et du lycée. Et ouïlle, cela fait mal. J'avais des souvenirs flous de cette époque mais je pensais être une meilleure élève que ce que j'ai découvert (comme quoi, la mémoire peut vraiment nous jouer des tours ). Je ne suis pas sûre que cela a été le bon moment pour revoir cela, car cela m'a donner un autre coup à ma confiance qui a été bien ébranlé cette semaine. 

Pour tout vous dire, j'ai pensé tirer un trait définitif sur mes écrits et mes histoires et arrêter ce blog. Mais je ne dois pas prendre de décisions hatives cette semaine car je suis un peu trop à fleur de peau et mes émotions un peu trop vives pour être vraiment de bon conseil. A cela se rajoute des incertitudes professionnelles qui me font craindre le pire pour l'avenir et qui n'aide pas à me sentir sereine. 

Est-ce que j'ai vu trop grand ? Sûrement ! 

Est-ce que j'ai des ambitions plus importantes que ce que je suis réellement capable ? Oui aussi. 

Est-ce que je me leurre sur mes véritables capacités ? Bien sûr ! 

A partir de là, je ne sais plus trop quoi faire. Je pourrais abandonner et laisser mes histoires en plan. Après tout, qu'est-ce que vous en avez à faire, hein (à part quelques uns pour qui vraiment cela compte, merci à vous d'être toujours là ♥♥♥). 

Franchement, cela me désole d'être ainsi, d'osciller entre deux états, euphorique ou deprimée, et de ne voir que le mauvais côté de moi. Cela fait mal. 

Mais bon. 

Demain est un autre jour. Demain est une autre semaine. 

Je vais allumer une jolie bougie parfumée. Ouvrir un livre qui me fait du bien. Et continuer à préparer mon bullet journal pour 2023. Réaliser quelque chose de mes mains me détend et m'aide à calmer mon mental. 

Et je reviendrais à l'écriture comme je le fais toujours. Parce que même si mes histoires sont maladroites et pas toujours bien écrites, j'aime mon imagination et mes personnages. Cela serait dommage de ne pas les mettre au monde ♥. 

Je vous laisse. Belle soirée à vous. 

Après une fin de semaine dernière pleine de choix pour Fleur, celle-ci commence avec une invitation au Festival Frasque et Humour. 

Bon, le Festival a été un peu gâché par la pluie mais Fleur et ses amis se sont bien amusés. 

Et puis le quotidien a repris avec la peinture, un peu de sport pour se maintenir en forme. Mais aussi livraison de courses pour préparer les repas. 

Elle en profite également pour aller au musée des beaux-arts et voir ce qui est en tendance actuellement dans le domaine de la peinture. C'est là qu'elle retrouve Angela, la soeur de Lilith. Et même si elle n'est plus en très bon terme avec cette dernière, ce n'est pas le cas pour Angela. Elles en profitent pour papoter un moment toutes les deux avec la promesse de se revoir bientôt. 

Une bonne nouvelle arrive : Fleur a une promotion au travail suite à son assuidité et ses bons résultats. Elle est maintenant peintre professionnelle, avec des horaires moins contraignants pour la jeune femme est qui lui laisse du temps libre. 

Cette promotion, elle a envie de la fêter et elle invite donc ses amis pour un petit repas en toute simplicité. Tout le monde n'a pas pu venir, car hélas les obligations professionnelles ou familiales sont là aussi. Mais Fleur est contente car Angela a pu se dégager du temps pour venir. C'est un agréable moment qu'ils passent tous ensemble. Ils en profitent car chacun maintenant  a une vie de son côté. 

D'ailleurs, le couple Misaki et Rieko ont l'intention d'agrandir la famillle pour la troisième fois. Fleur est contente pour elles deux même si cela veut dire qu'elles les verra encore moins souvent. Mais après tout, tout le monde est en couple ou presque et des mariages se précisent chez certains. Fleur ne sait pas encore ce qu'elle a l'intention de faire avec Rahul. Et ce n'est pas l'énième appel sur l'héritage qui va la décider à sauter le pas inconsidérement... .

C'était une semaine tout en tranquillité, même si il y a eu un peu d'avancement dans la vie professionnelle de Fleur. Et puis, maintenant, elle a un matelas plutôt confortable en terme de simflouzes : 

On se dit à la semaine prochaine. Il y aura un mariage à fêter dans l'entourage de Fleur .

J'ai découvert sur le site de Sims Community que des prototypes des sims "5" avaient été partagés suite à la fuite d'images du Projet "RENE". 

j'avais envie de vous les partager moi aussi : 

Ce ne sont bien évidemment que des prototypes. Et entre ce rendu actuel et le rendu qu'il y aura lors de la version définitive, cela sera sûrement différent. 

Mais... Ma fois, je ne les trouve pas désagréables. J'espère qu'ils garderont une base cartoon car je n'aime pas non plus l'hyper réalisme. Je me dis quand même que cela n'a pas l'air si mal. Cependant, je ne vais pas acheter les yeux fermés cette nouvelle version (à moins qu'on me l'offre ) et je vais attendre de voir ce qui sera proposé en terme de gameplay car c'est bien cela qu'on attend d'un jeu de simulation. La représentation et la cosmétique, c'est chouette oui, mais j'attends quand même de pouvoir jouer avec mes sims. Tout ce que j'espère c'est que le gameplay se rapproche de celui des sims 2, surtout dans les petits détails de la vie et dans les bonnes idées des sims 4 (groupe, lien entre les maps, parentalité, etc... )

Enfin, on a encore le temps de voir venir et j'espère qu'on aura encore de bonnes surprises dans les sims 4.

Et vous, vous en pensez quoi ? Cela vous intrigue ou vous ne voulez pas en entendre parler ? 

(et sinon, je me demande quelles allures pourraient avoir Aliénor et Jay dans cette nouvelle version . Oui, je ne me refais pas ^^)

Bien. Je viens d'aller sur le site de l'éditeur. Celui-ci a envoyé un mail aux personnes choisis pour le concours. Et je n'en fais donc pas partie . Je m'en doutais un peu, mais que voulez-vous, j'avais quand même un petit espoir... 

Je vais donc me morfondre pendant quelque temps (et manger des douceurs) et je reviendrais avec encore de l'optimisme. 

Puisque mon idée n'a pas été choisie, je vous livre donc le chapitre 1 en entier. Je ne vous livre pas, par contre, le synopsis car j'ai quand même dans l'idée de le proposer à d'autres maisons d'éditions, une fois que j'aurais terminé cette histoire. Pourquoi pas, après tout ? Cela ne me coûtera qu'un peu de temps et quelques mails. 

Donc, "L'Année de la Chasse au Trésor" - Chapitre 1

En ce premier jour d’été, l’humeur était au beau fixe à Puy-en-Chantel, la capitale du Royaume d’Alarinthe. Il n’y avait pas un seul nuage à l’horizon pour troubler cette journée festive et chômée. Enfin, sauf pour les artisans de bouche qui travaillaient encore plus pour satisfaire l’appétit des visiteurs qui viendraient s’assembler sur la Grande-Place lorsque serait annoncée la liste des participants à la Grande Chasse au Trésor.

C’était également le cas pour la famille Ostaride, les chocolatiers renommés de la capitale et appréciés par beaucoup de notables. Toute la famille était donc en effervescence dans la boutique pour pouvoir satisfaire les envies de gourmandises des badauds qui viendraient s’arrêter à leur étal. Enfin, toute la famille, pas tout à fait. Il y avait une personne pour qui cette agitation ne perturbait aucunement. Il s’agissait de la dernière fille de la famille, Miélène. Celle-ci préférait lire son livre d’aventures magiques, cachée dans la réserve, pendant que tout le monde s’agitait à côté. C’était pour ça, alors qu’elle était absolument captivée par l’histoire qu’elle dévorait, qu’elle ne sentit pas la légère odeur de brûlé venir jusqu’à elle. Mais la grosse voix qui se fit entendre soudain, elle, en revanche, éclata la bulle de bien-être qu’elle s’était créée.

« MIELENE OSTARIDE ! »

« Aïe… Papa… »

Miélène sortit bien vite de la réserve et vint vers son père la mine contrite. Celui-ci lui montra du doigt un plateau de petits gâteaux qu’il venait de sortir du four et qui étaient tous carbonisés. Miélène baissa encore plus la tête.

« Ta tâche, aujourd’hui, était pourtant simple, ma fille. Il s’agissait juste de vérifier la cuisson de ces gâteaux. Et tu n’as même pas été capable de le faire correctement. Ou étais-tu donc passée ? »

« Heu… Je… J’étais dans la réserve… en train de lire… »

Le visage de Johen Ostaride se fronça davantage et sa bouche se referma en un pli dur, signe de mauvais augure. Et ce n’était pas l’arrivée des frères et sœurs de Miélène dans la cuisine qui arrangea les choses.

« C’est bien là le problème, Miélène. Tu étais en train de lire ! Qu’est-ce que je t’ai déjà dit ? Chacun ici doit faire sa part de travail, du plus vieux au plus jeune. Je ne tolère pas l’oisiveté dans cette maison. Nous ne sommes pas une famille de nobles qui passe son temps à ne rien faire ! »

« Mais lire ce n’est pas rien faire ! »

« Il suffit, jeune fille ! N’aggrave pas ton cas avec des paroles inconsidérées. Nous t’avions confié un travail que tu n’as pas été capable de faire. Je pensais que tu serais plus responsable que cela à 13 ans. Mais je vois bien que non. Il me faudra en tirer les conséquences. Je ne peux donc pas te laisser venir avec nous sur la Grande Place. Tu resteras ici à garder notre boutique »

« Quoi ? Ho non, je ne pourrais pas assister à l’ouverture de la Grande Chasse au Trésor. Tu ne peux pas me faire cela, papa ! »

« Je ne reviendrai pas dessus, Miélène. En notre absence, tu garderas la boutique. Cela devrait être dans tes compétences… »

Johen lui jeta un dernier regard sévère puis sortit de la cuisine, préoccupé déjà par tout le travail qu’il y avait à faire afin d’être prêt pour l’ouverture des festivités. Les deux frères de Miélène, Javonil et Emular, la regardaient en ricanant puis sortirent eux aussi. Quant à ses deux autres sœurs, Netty et Heniette, les jumelles, elles, elles soupirèrent. Elles savaient encore une fois sur qui le travail de Miélène allait retomber. Il n’y eut que la mère, Amalia, pour se pencher sur sa fille et essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues.

« Allons, Miélé… Ne te mets pas dans des états pareils. Ton père a raison, tu sais. Tu aurais dû faire ce qu’il t’a été demandé. Je sais bien que le métier de chocolatier ne te plaît pas outre mesure. Mais, tu te souviens du marché que nous avons passé toutes les deux ? Tu fournis un effort au moins jusqu’à la clôture de la Grande Chasse et je parlerai ensuite à ton père pour t’inscrire à l’école royale.

« Mais j’avais tellement envie d’assister aux festivités de la Grande Chasse, maman ! »

« Ce n’est que partie remise, ma chérie. Il y en aura une autre dans cinq ans. »

« Mais qui sait ce que je ferais dans cinq ans ! »

Amalia eut un bref sourire et passa une main caressante dans les cheveux bouclés de sa fille, un geste tendre depuis sa petite enfance pour la consoler.

« Ainsi va la vie ma chérie. On ne peut pas toujours faire ce que l’on veut. En attendant, tu vas devoir garder la boutique en notre absence. Ce qu’il y a de bien en cette période de fêtes, c’est que tu ne devrais pas avoir beaucoup de clients dans la boutique. Ils seront tous sur la Grande Place. Tu devrais en profiter pour laver les carreaux et enlever la poussière des étagères. Ton père appréciera l’effort et sera mieux disposé à ton égard »

Sa mère l’embrassa une dernière fois puis partit elle aussi de la cuisine. Il y eut un bref instant d’effervescence, un dernier tintinnabulement de la clochette de la porte d’entrée et ce fut le silence.

Miélène poussa un léger soupir puis épousseta sa robe qui avait pris un peu la poussière dans la réserve et entra de l’autre côté, dans la boutique. Elle se glissa derrière le comptoir pour mettre son tablier et prit un chiffon pour traquer la poussière qui se cachait sur les étagères, comme le lui avait conseillé sa maman. Miélène n’était pas une mauvaise fille, elle voulait vraiment bien faire, mais elle savait que la chocolaterie ne l’intéressait pas du tout et c’était bien là son problème. Car son père, lui, était un passionné. Il adorait son travail et sa boutique et il était fier de savoir que ses chocolats étaient dégustés dans tout le Royaume d’Alarinthe. Par conséquent, elle ne savait pas vraiment comment lui dire qu’elle ne voulait aucunement travailler dans l’une de ses succursales mais plutôt entrer dans l’école royale pour étudier l’histoire du Royaume. Et peut-être pouvoir être professeur à l’Académie Royale. Mais pour cela, elle devait avant tout se montrer de bonne composition pour que son père soit plus enclin à aller dans son sens.

Il était aux alentours de midi quand la jeune fille s’arrêta enfin. Elle eut un sourire de contentement. La boutique était maintenant bien nettoyée et une légère odeur de cire imprégnait l’air. Oui, c’était bien agréable. Et en plus, elle n’avait eu aucun client pour la déranger. Miélène pensait qu’il était temps de s’accorder une petite pause. Elle tâta sa poche et y trouva le livre qu’elle y avait rangé. Mais au moment où elle allait le sortir, la clochette de la porte d’entrée se fit entendre. Elle se retourna vivement.

Sur le seuil de la boutique se tenait un homme vêtu d’une longue robe grise rapiécée et couturée, une longue barbe noire mal peignée et un chapeau bordeaux, signe distinctif des Mages. Il pointa un doigt sur elle.

« Toi ! C’est de toi dont j’ai besoin pour participer à la Grande Chasse au Trésor ! »

L'hiver est arrivé mais le quotidien de Fleur est toujours bien occupé entre le travail et les séances de sport qu'elle s'octroie pour se détendre un peu. 

Et cette semaine, elle finit enfin cette aspiration qui traînait un peu en longueur, il faut bien le dire. Maintenant, elle peut se consacrer pleinement à son aspiration première, c'est à dire Peintre Extraordinaire. 

Elle apprend également de bien jolies nouvelles de la part de ses amis (elle a dit oui aux deux . Je m'en fiche, je ne les contrôle pas). 

Et dans tout cela, elle n'a pas de nouvelles de Lilith depuis la dernière fois. Fleur est un peu dépitée car Noël approche et elle aurait aimé le fêter avec elle. Alors, pour ne pas être seule ce jour-là, faisant mauvaise fortune bon coeur, elle invite Rahul. Qui ne se fait pas prier. Il est charmant et aimable. Et du coup, elle l'invite également pour la fête de la fin de l'année. 

Fleur a également la visite de Misaki qui vient lui faire voir son gros bidon tout rond. La grossesse sied à la jeune femme. C'est son deuxième, mais elle n'a pas l'intention avec Keiko de s'arrêter en si bon chemin (d'ailleurs, à l'heure actuelle le foyer est plein. Le jeu ne les as pas loupé ). Fleur en est contente pour elles deux. En ce qui la concerne, la maternité n'est pas quelque chose qu'elle appréhende tout de suite. Elle a envie de profiter de la vie citadine, de monter dans sa carrière. Et puis, aussi pouvoir profiter des sentiments amoureux et de la passion sans obligation familiale.

La passion, parlons-en. La soirée du nouvel an est arrivée et Fleur a pris soin d'elle et s'est pomponnée. Pour son ami d'enfance, Rahul ? Oui, pour lui. Lilith ne lui a pas donné de nouvelles et ne répond pas. Alors, la jeune femme a décidé de profiter de cette soirée pour voir si elle pouvait séduire. Evidemment, avec Rahul, c'est facile puisqu'il n'attendait que ça... 

Et puis dans la semaine, Fleur a la visite de Misaki  qui lui indique que Lilith est de nouveau dans le coin. Si Fleur veut la revoir, elle peut aller à la salle de sport. La jeune femme ne sait plus que faire. Elle a couché avec Rahul, un peu par vengeance, un peu par envie, mais elle n'est pas amoureuse comme elle l'a été avec Lilith. Mais elle ne supporte pas non plus l'attitude désinvolte de son amante. Misaki la rassure en lui indiquant que ses amis seront toujours là pour elle, quoi qu'elle décide... 

Quand Fleur arrive à la salle de sport, elle a pris sa décision. Elle en a fini avec la jeune femme et c'est d'un air assuré qu'elle rompt avec elle. 

C'est ainsi que se termine la semaine 10 de Fleur. Encore du drama sentimental à son actif . Heureusement, au niveau de l'argent, elle n'a pas de soucis à se faire, comme vous le voyez ci-dessous : 

Je vous dis à la prochaine semaine, qui sera plus calme .