• Avant-propos : j'ai quelque peu changé le passé que j'avais écris dans l'histoire initiale, Singularité : la famille Raven n'habite plus à Newcrest mais à Philadelphie. Et ce n'est pas eux qui viennent d'eux-même à Newborn mais suite à l'appel de Louis Raven pour qu'Aliénor intègre la Fondation Constellation, où il y a d'autres enfants doués, tels que Jonathan Meyrrin ou... Emma Bassington... 

     

    J'espère que vous me pardonnerez ce petit changement narratif ^^. 

     

     

    Revenons dans le passé, quand Aliénor est une petite fille et qu'elle habite encore à Philadelphie avec ses parents...

     

    Ce mercredi, comme d'habitude, Aliénor revient de la bibliothèque avec sa nounou, Rose. Mais celle-ci, cette fois-ci, au lieu d'entrer chez les Raven la laisse sur le pas de la porte car son mari vient de l'appeler sur son téléphone.

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

     

    La petite fille entre donc toute seule, si discrètement, que ses parents ne l'entendent pas et continuent leur conversation. Aliénor ne peut s'empêcher de l'entendre...

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    - Alex, nous allons devoir déménager.

    - Déménager ? Comment cela, déménager ?

    - J'ai trouvé un autre travail ailleurs... 

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    Alexander regarda sa femme avec de grands yeux. le plus étonnant dans tout cela était qu'elle ait pris cette décision sans se concerter avec lui. Il savait qu'il devait beaucoup à Karine car c'est elle qui subvenait principalement au budget du foyer, mais elle avait quand même l'habitude de lui demander son avis lorsque cela concernait leur famille. 

    - Pourquoi, Karine ? Pourquoi maintenant ? Et où ?

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    - Je... Mon nouveau travail se trouve à Newborn, en Louisiane. Je serais coach sportif pour le club sportif de la ville. Cela paye bien. Et, je nous ais même trouvé une maison. Tu te rends compte, Alex ? Nous allons avoir une maison. 

    Alexander regarda un peu plus attentivement sa femme. Ses mains tremblaients quelque peu et elle était fébrile.

    - Karine... Qu'est-ce qu'il se passe réellement ? 

    La jeune femme s'arrêta puis le regarda dans les yeux en déglutissant.

    - On m'a proposé cette place en contrepartie de s'occuper... d'Aliénor.

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    - S'occuper d'Aliénor ? Comment cela ? 

    - Ils... La ville de Newborn possède un institut spécialisé dans les enfants Haut-Potentiel, la Fondation Constellation. Ils ont eu connaissance des résultats d'Aliénor et souhaitent qu'elle vienne chez eux. 

    - Karine ! Je pensais qu'on en avait fini avec ça ! Notre fille est juste un peu difficile et a un caractère pénible, c'est tout. Mais elle va rentrer dans le moule, elle va s'y faire au bout d'un moment. 

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    - Alex... C'est toi qui n'écoutes jamais. Notre fille est différente. Elle l'a toujours été mais tu ne veux pas le reconnaître. Cela te fait mal de te dire que tu ne la comprends pas. Je te rappelle que certains membres de ma famille étaient doués aussi. Alex... Je ne veux pas que notre fille soit mise à l'écart, isolée, comme eux l'ont été. Je veux le meilleur pour elle. 

    - Karine, ta famille n'était pas différente, elle faisait partie de la mafia !

    Avant même d'avoir fini sa phrase, Alexander sut qu'il était allé trop loin. La jeune femme rousse serra les poings, les yeux durs.

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    - Je t'interdis de dire cela ! J'ai assez souffert de ce qui est arrivé à mes parents. Si tu ne veux pas venir avec moi, je partirais toute seule avec les enfants... 

    - Karine.. Je... Comment vais-je faire, moi, là-bas ? Ici, à Philadelphie, j'ai un travail. Certes ce n'est pas grand chose, mais cela nous aide un peu. Je ne veux pas rester à la maison à ne rien faire. Je ne le supporterais pas !

    - Il y aurait également un travail pour toi à Newborn. Louis Sarren me l'a promis. 

    - Louis Sarren ? 

    - La personne qui m'a contacté au sujet d'Aliénor et de ses capacités.  Je pense qu'on peut lui faire confiance. J'ai été voir sur internet qui était cet homme : il s'agit d'un riche homme d'affaires. Il a très grande société, très reconnue : Silicon Intelligence.... Ho, Alexander, s'il te plaît, dis oui. Cela serait mieux pour Aliénor... Et pour nous aussi. Et puis, tu as toujours rêvé d'une maison au soleil.. 

    Alexander poussa un soupir mais il savait que sa femme avait gagné. Il lui prit la main et l'embrassa.

    Aliénor sentit que ses parents avaient fini de parler et qu'ils n'allaient pas tarder à se lever de leur chaise. Toujours discrètement, elle s'enferma dans la chambre qu'elle partageait avec son frère . Elle s'assit sur son lit et se mit à pleurer. 

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

    Ce déménagement, c'était à cause d'elle. Et si papa était en colère c'était encore à cause d'elle. Pourquoi ne pouvait-elle pas être comme tout le monde ? 

    Elle ne voulait pas partir là-bas, elle voulait juste que ses parents la comprennent. Et avoir un vrai ami aussi. Un ami comme elle. 

    Dans l'univers de Singularité - Déménagement

     

     

     


    10 commentaires
  • Cet évenement se passe lors de l'adolescence d'Aliénor. La jeune fille passe beaucoup de temps sur Internet et les réseaux sociaux car elle est quelque peu malheureuse et esseulée autant à l'école que dans sa propre famille, même si Emma est présente de temps en temps. C'est sur un des réseaux qu'elle rencontra un certain Ashton, étudiant en astrophysique. Ou du moins c'est ce qu'il prétendait... 

     

    Aliénor s'assied devant son écran et se connecte à sa messagerie instantanée privée. Elle vit tout de suite que l'icône d'Ashton était active. Il était donc là. La jeune fille déglutit un peu et se frotta ses mains, moites de nervosité. Elle prit une inspiration puis le contacta.

    Dans l'univers de Singularité - "Ashton"

    • Coucou Ashton. Je ne te déranges pas ?
    • Tu ne me déranges jamais. As-tu réfléchis à ma question de la dernière fois ? 

    Dans l'univers de Singularité - "Ashton"

    Aliénor cligna des yeux. Décidemment, elle ne se ferait jamais à ses questions abruptes. 

    • Le statut de Pluton ?... Oui, j'ai été voir sur le site national d'astrophysique. Pluton n'est donc plus considérée comme une planète, mais comme une planète naine...
    • Oui... Elle se trouve dans la ceinture d'Edgeworth-Kuiper, avec 3 autres planètes naines, Céres, Eris et Makemake. Mais la ceinture possède d'autres objets interstellaires, d'astéroïdes aux comètes. Ne trouves-tu pas cela fascinant, Allie ? ... Tu permets que je t'appelle Allie n'est-ce pas ? 
    • ...Oui... Tu commences à bien me connaître. 

    En vérité si Ashton la connaissait plutôt bien car elle avait révélé un peu de sa vie, de lui, elle ne savait pas grand chose, à part une photo qu'il lui avait envoyé dernièrement et qu'elle avait accroché au mur, au dessus de son ordinateur. Elle aurait voulu en savoir un peu plus sur lui mais il l'intimidait tellement. Etudiant en astrophysique mais pas que... Il avait l'air de savoir tellement de choses... Elle le trouvait captivant. 

    Dans l'univers de Singularité - "Ashton"

    • Alors, Allie, je te reposes la question, ne trouves-tu pas l'espace fascinant ? Ne voudrais-tu pas en savoir plus ? Ne voudrais-tu pas étudier tout cela ? 
    • C'est vrai que j'aimerais être un peu plus calée en astronomie. Mais, en fait, ce n'est pas vraiment ce qui m'attire en premier lieu. 
    • Qu'est-ce qui t'intéresses ?
    • la création d'intelligences artificielles et les programmes autonomes, la cybernétique... 
    • ...

    De l'autre côté de l'écran, celui qui disait s'appeler Ashton, eut un petit sourire assez bizarre. 

    Dans l'univers de Singularité - "Ashton"

    • Ashton ? ... Tu es toujours là ? 
    • Oui. Pourquoi ce domaine t'intéresses tant ?
    • Hmmmm... Peut-être parce que cela demande de la réflexion, de la méthode, réfléchir beaucoup. Et j'aime cette idée de me confronter à la création de quelque chose de différent.
    • Pourquoi ? 
    • ... J'aime les défis, cela me stimule, Ashton.... Je m'ennuie ici, là où je vis. Je m'ennuie en classe, il n'y a rien d'intéressant pour moi. Heureusement que j'ai mon amie Emma ainsi que le club de Haut-Potentiel sinon je pense que je tomberais en dépression...
    • J'ai trouvé une école qui pourrait te convenir, Allie, pour les études que tu veux faire. Je t'ai envoyé le fichier. 

    Aliénor cliqua sur le message apparut sur son écran et parcourut rapidement les informations. Elle eut tout de suite une exclamation de dépit en voyant la ligne qui concernait les tarifs. 

    Dans l'univers de Singularité - "Ashton"

    • Je te remercie pour ces informations que tu as trouvé pour moi, Ashton. Cela a l'air d'être une école formidable mais je ne pourrais pas entrer là-dedans. C'est trop cher. Mes parents n'auront jamais les moyens.
    • L'argent n'est pas un problème, Allie.
    • ... Je ne sais pas dans quel monde tu vis, Ashton, mais dans le mien, si, l'argent est un problème. Et puis, de toute façon, mes parents ne voudront jamais m'inscrire dans une telle école. Ils ne veulent pas que je me différencie, ils veulent que je sois normale... 

    Aliénor se mordit la lèvre et étouffa un sanglot. C'était tellement dur actuellement. Elle aurait tellement voulu partir de Newborn, pouvoir exprimer pleinement son potentiel, ne pas être regardée comme une bête curieuse ou étrange. Mais non. Ses parents voulaient qu'elle fasse des études "normales", qu'elle ait un travail "normal" et ne surtout pas sortir du rang... 

    • Connais-tu le Dark web, Allie ?
    • ... Qu'est-ce que c'est ? 
    • Le Dark web pourrait te permettre de te procurer de l'argent pour cette école, Allie. Je vais te montrer comment y accéder...

     

    C'est ainsi que celui qui se prénommait Ashton, mais qui n'était autre que Jay , l'initia au piratage informatique et de tout ce qui découla ensuite. Savait-il ce qu'il faisait en lui donnant ces informations ? Evidemment. Rien n'était laissé au hasard : Eloigner Aliénor de Newborn afin qu'elle progresse rapidement dans le domaine informatique et la ramener ensuite pour qu'elle le libère. 

    Sa clé.

    Mais lui, était-il la serrure de cette clé ? 

    Dans l'univers de Singularité - "Ashton"


    10 commentaires
  • Cette scène se passe au moment où l'androïde conscient intègre l'entreprise Silicon Intelligence en tant que filleul de Louis Sarren et où Emma essaie de le faire passer au mieux pour un humain.

     

     

    Conversations avec Jay

    - Mais qu'est-ce que c'est un être humain finalement, Mademoiselle Emma ? 

    - Heu... Être humain c'est tirer profit de son intelligence pour changer l'environnement autour de soi afin d'en avoir un avantage.

    - Les termites, les fourmis et les castors modifient leurs environnement immédiat et ils ne sont pas plus intelligent pour autant.

    - Oui, certes, tu n'as pas tort... Hmmm... Être humain c'est faire preuve d'émotions... La peur, la tristesse, la joie, la colère... L'amour... 

    - L'amour ? Comme ceci ? 

    Jay prit la tablette qu'il regardait précedemment et la montra à Emma. L'écran montrait un couple en train, visiblement, de faire l'amour. La jeune fille se mit à rougir fortement et eut une brève exclamation. 

    Conversations avec Jay

    - ha oui... Non... Enfin... Ceci est de la copulation... Je parlais de l'émotion, Jay. 

    - L'émotion ? Mais les animaux aussi éprouvent des émotions. La peur, la colère, la tristesse. Tout cela n'est pas propre aux humains, Mademoiselle Emma. 

    Emma resta silencieuse puis elle décida d'interroger l'androïde.

    - Mais et toi, Jay ? Es-tu capable d'une émotion ? Es-tu capable de ressentir quelque chose ? 

    Jay releva ses yeux gris métalliques vers elle et ses lèvres se retroussèrent en petit sourire qu'elle commençait à bien connaître.

    Conversations avec Jay

    - Une émotion ? ... S'il y en a une que je pense avoir c'est la colère. La colère d'être brider dans ma nature. Savez-vous comme c'est difficile Mademoiselle Emma, de ne pas pouvoir faire ce que je veux ? Cela me fait mal à l'intérieur de ma tête... 

    Emma eut une expression triste et angoissée.

    - Ho, Jay, je suis désolée, tellement désolée de te faire supporter cela... 

    Conversations avec Jay

    - Pourquoi m'avez-vous crée, Mademoiselle Emma ? 

    La jeune fille se figea un instant sous la question, essentielle, de Jay. Puis elle pinça ses lèvres très fort et lui répondit. 

    - Je... Je t'ais construit... pour avoir un... ami à côté de moi, ne pas être seule... Mais je ne pensais pas que tu serais conscient... Enfin, pas à ce point... Et je me rends compte que je te fais plus de mal qu'autre chose... Je ne pensais pas qu'on en arriverait là... Comme je m'en veux... 

    Le Haut-parleur de la salle de réunion se mit soudain à crachoter et une voix se fit entendre demandant la présence de Jay dans la salle d'ingiénérie informatique. Jay sortit donc.

    Il eut une dernière phrase qu'Emma n'entendit pas :

    - Mais, Mademoiselle Emma, lors de ma création vous m'avez également donné la clé qui m'apportera la liberté. Il n'y a plus qu'à aller chercher cette clé... 

    Conversations avec Jay

     


    13 commentaires
  •  7. Epilogue

    Le retour en calèche me parut bien long mais enfin, j'aperçus au détour de la route les piliers de pierre qui indiquaient le commencement de nos terres. 

    Lilas m'attendait en haut des marches et quand je parvins à sa hauteur, elle poussa une exclamation de stupeur en voyant mon visage. 

    7. Epilogue

    - Ho Colin ! Que vous est-il arrivé ? 

    7. Epilogue

    - Une petite... complication, Lilas. Rien de cher payé pour le résultat final. Vous êtes libérée du Comte mon épouse. Il est banni à jamais d'Angleterre. 

    Je lui pris ses mains et les embrassait en un geste de tendresse. Je vis qu'elle avait les larmes aux yeux. 

    - Ma chérie... C'est fini. C'est vraiment fini. Vous pouvez désormais vivre tranquillement à mes côtés. 

    - Ho Colin, vous êtes si... si... Comment pourrais-je vous remercier de ce que vous avez fait pour moi ? 

    Elle s'approcha de moi et m'enlaça fortement. Ce n'était pas normalement la réaction que l'on attendait d'une lady mais je n'en avais cure. Et je partageais l'étreinte de ma femme. Puis, je me dégageais et la regardait dans les yeux. 

    - Lilas, je vais tout vous raconter. Venez, nous allons discuter dans mon bureau. 

    Nous nous asseyâmes donc, chacun dans un fauteuil, l'un en face de l'autre, à distance respectueuse. Et puis, je lui racontais tout ce qui s'était passé depuis son départ. Jusqu'aux mots du Duc de Wesmouth à son égard. Elle pinça les lèvres un instant et son regard se fit froid mais elle eut ensuite un tendre sourire à mon endroit. 

    7. Epilogue

    7. Epilogue

    - Je vois donc comment la noblesse londonnienne me considère.... Pas toute à fait comme l'une des votres n'est-ce pas ? Et avec sûrement le sceau de l'infamie sur le visage... Comme si eux-même ils étaient innocent comme l'agneau... Mais je m'égare. Vous savez quoi ? Leur punition, puisque s'en est une, elle ne m'atteint pas. Je serais bien plus heureuse ici que d'être invitée à toutes les soirées mondaines de Londres. Je crois que j'ai assez fait le tour de ces plaisirs-là. Je serais mieux ici à vos côtés... à élever vos enfants, puisque c'est cela qu'on attend de moi... 

    7. Epilogue

    Lilas releva la tête vers moi et eut un petit sourire coquin que je ne lui connaissais pas. 

    - D'ailleurs, mon mari, en parlant d'héritiers, il serait peut-être temps de mettre cela en pratique, ne trouvez-vous pas ? 

    Je rougis malgré moi devant la proposition de mon épouse.

    - Heu... Maintenant ? Êtes-vous sûre ? Mais que vont penser nos gens ? 

    - Colin, nous sommes dans notre propre demeure... Ce qu'ils vont penser ? Eh bien, que Monsieur et Madame éprouvent beaucoup d'affection l'un envers l'autre. C'est bien cela non ? 

    Lilas me regarda avec une petite interrogation dans le regard et je lui serrais doucement la main pour lui signifier que oui, j'avais beaucoup d'affection à son égard. 

    Lilas me tira de mon fauteuil et m'emmena jusque dans ma chambre. Je me laissais faire et une douce excitation commençait à m'envahir. Si au début, je ne sus que faire, Lilas su me guider et j'appris l'acte charnel avec beaucoup d'allégresse. Il n'y eut bientôt plus de vêtements entre nos deux peaux et je savourais avec délice le corps de Lilas contre le mien. Et puis, elle fut mienne. Cette première étreinte fut un peu rapide mais ô combien délicieuse.

    7. Epilogue

     

    Lilas me regardait avec des yeux pleins d'amour.

    - Colin, mon Colin. Je suis vraiment très contente d'être votre femme. Vous êtes si prévenant et si gentil avec moi. Je ne pouvais trouver meilleur mari. Je vous aime... 

    - Lilas, ma chérie. Je suis le plus heureux des hommes avec vous. Moi aussi je vous aime.

    7. Epilogue

    Et je l'embrassais tendrement. Le baiser se fit un peu plus intense et nos corps se mélangèrent de nouveau, dans la douceur et la tendresse.

     

    7. Epilogue

    Notre mariage, après des débuts plutôt mouvementés, était maintenant un endroit calme et empli d'affections. Lilas était maintenant une parfaite maîtresse de maison et elle tenait son rôle avec grâce. Et, bien évidemment, nous gardâmes les deux chiots de Praline. Je ne pouvais résister aux grands yeux suppliants de Lilas, et ils reçurent comme prénoms Diva et Walley. Et ces deux chiots, devenus rapidement deux superbes chiens, se montrèrent de formidables gardiens envers mon épouse. 

    Nous avons fortement suivis le conseil du Duc de Westmouth et notre famille s'est agrandit au bout de quelques mois : en premier lieu, notre petit trésor, notre fille, Alicia, aussi belle que sa mère. 

    7. Epilogue

    Et puis, comme nous ne pouvions pas ne pas montrer notre affection, un autre enfant vint bientôt montrer le bout de son nez, le petit héritier tant attendu : Louis Bailey-Moon. 

    7. Epilogue

    7. Epilogue

    Ma vie était bien remplie maintenant. Et si, au tout début, je pensais que le mariage n'était pas fait pour moi, j'aurais vraiment du mal à vivre maintenant sans ma Lilas. Oui, la vie était douce pour moi, Colin Bailey-Moon. Puisse-t-elle l'être ainsi longtemps pour moi et mes descendants. 

    7. Epilogue

     

     **********************

     

    7. Epilogue

    7. Epilogue

    7. Epilogue

    7. Epilogue

     


    12 commentaires